une première année compliquée pour la plateforme MonMaster
Motifs d’acceptation peu clairs, peu de communication sur les recours… les étudiantEs démuniEs face à MonMaster.
Bien que ce fût la première année de la plateforme MonMaster, beaucoup de disfonctionnement sont à constater. En effet, nombreuxSES sont les étudiantEs qui se sont sentiEs perduEs et démuniEs face à la plateforme. De la période d’ouverture à la phase des résultats, les étudiantEs ont été confrontéEs a de nombreuses problématiques.
Peu voir pas de communication sur les procédures de recours, iels sont nombreuxSES à ne pas réunir les critères indispensables à la demande de recours.
Ainsi, c’est un certain nombre d’étudiantEs qui, à cause du manque de communication de la plateforme et du Gouvernement, se retrouveront sans master pour l’année universitaire 2023-2024. Nous trouvons regrettable que ce soit aux associations et organisations étudiantes d’accompagner les étudiants et étudiantes dans leurs procédures de recours, souvent pas au courant de l’existence de ces procédures.
De plus, les motifs de refus sont nombreux et particulièrement larges. Un certain nombre d’étudiants et étudiantes – linguistes ou non – se sont retrouvéEs confrontéEs au motif de refus “niveau de langues insuffisant”. A l’heure actuelle, cette justification peu être remise en question, notamment lorsque l’étudiantE peut attester de la validation d’une licence LLCER ou LEA, supposée attester d’un niveau équivalent C1.
Ainsi, la FNAEL demande un travail sur les motifs de refus ainsi qu’une réelle communication des outils et des procédures de recours pour la prochaine année de la plateforme MonMaster.